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  • L'ILE DES DÉSIRS‏

    Au petit matin de juin, une senteur inconnue monte de la terre.

    Au loin, plus haut que l'horizon, l'île des désirs se dresse, calme et tranquille, face au tourbillon de la Côte et de tous ses voyeurs d'ombre.

    Je veux aller au lac du haut monde, me baigner dans ses eaux claires et redécouvrir l'espoir, cette tragédie.

    Accompagnez-moi, grâce aux mots aventureux de Patrick Quillier, poète du haut-pays, et à l'archet vibrant de Philippe Tallis.

    Ils trouveront les plus beaux chemins de ce voyage immobile.

    Venez au Château de Mouans-Sartoux, en ce vendredi 14 juin 2013, à 19 h pour respirer la  poésie et la déclamer ensuite avec vos intonations riches de diversité.

    Celles et ceux désireux de prolonger cet instant privilégié partageront un buffet de notre composition, entre les murs du Château.

    Inscrivez-vous (12 €) dès aujourd'hui par retour de courriel, ou sur le site « Les Mots  d'Azur ».

    Ce sera juste après la touche finale, délivrée par la surprenante soprano Colette Koréva Pétrisot.

    Ne manquez surtout pas notre dernier rendez-vous avant la pause estivale, au quatorzième  jour d'un juin au cœur large et généreux.

     Pierre-Jean BLAZY.

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  • NOS VIES RASSEMBLEES

    Dans ce château si loin et si proche des chuchotements de la ville, il est toujours temps de vivre une aventure inspirée par le ciel changeant d'un vendredi qui se fane doucement.

    Vous étiez au rendez-vous, et toutes vos vies rassemblées dans la salle aux murs épais jouxtant le jardin, toutes vos vies donnaient envie d'écouter la voix et les mots de Béatrice Bonhomme :

     

    « C'est comme si la mer

    s'était posée sur tes mains

    un instant

           (...)

    La mer existe toujours

    de ta présence

    et se retire dans tes marées

    (les gestes de la neige – Ed. l'Amourier)

     

    L'air est plus léger. On entend glisser le piano de Philippe Villani qui s'invite à la fête.

    « C'est comme si l'amour s'était posé un instant dans le bleu

    l'amour s'était posé un instant sur ta neige

    il neige des flocons d'amour sur les épaules

    de la mer »

    (les gestes de la neige- Ed. l'Amourier)

    Puis l'envie vient de visiter une autre rive d'un même pays

    « Quand je recevais tes mots sur les lettres que tu m'écrivais, il y avait des fleurs blanches posées sur le papier. C'est l'éclaboussement de l'arbre que je voyais de la fenêtre de la maison dans cette lumière de midi, dont je me souviens le mieux. »

    (le pacte des mots – Ed. Peter Lang)

    Quelque part au milieu de nous, la complicité des notes de la musique de Philippe Villani nous imprègne du texte qui sonne comme une évidence : 

    « Je ne savais pas que les mots pouvaient tomber malades et qu'on pouvait ressentir soudain le scandale des mots à vouloir habiller la tristesse et la mort »               

                          (…)

    C'est comme si le temps refusait de passer ici. Les gens passent et meurent sur les saisons, épinglés sur le paysage, mais le paysage demeure. »                                 

    (le pacte des mots – Ed. Peter Lang)

    Et ce temps, nous le retrouvions, pour mieux espérer qu'il dure longtemps en ce début de soirée :

    « Pour moi, le visage parlait. Quand je suis entré dans la maison ouverte aux quatre vents de l'oubli, j'ai marché vers le visage. Il parlait d'enfance. Il parlait de ce qui lave le cœur, de ce qui résigne l''esprit, il parlait de stries dans le bois et de matière du pigment. Il transmettait les jours, les hommes épinglés aux saisons, le désir de lumière »                                                 

    (Variations du visage et de la rose- A paraître aux éditions de l'arrière-Pays)

    La lumière décline. Il me revient en songe le ciel d'hier et ses vallons obscurs.

    « T'écrire adolescent au détour d'un regard au cœur même de ma nuit, je sens encore ce vent écume de la mer. Je voudrais te serrer, t'enserrer dans ma nuit, bleu-nuit cette plage de notre adolescence, je voudrais t'emporter sur mon viaduc, dans la chaleur douce d'un été qui s'enfuit, dans ce caillou qui tombe »

    (Kaléidoscope d'enfance – Edition Nue)

    Les applaudissements retenus pendant tout le spectacle crépitent, et soixante dix-huit regards reconnaissants se tournent vers Béatrice Bonhomme et Philippe Villani.

     

    Ce fut un moment de pure dégustation.

     

     

     

    * * *

                 Place maintenant au chant et à la voix puissante de Christina Maffei. La soprano dramatique est là, entourée de Raymond Lepers au piano, de Thierry Cady à la contrebasse, et de Thomas Woseitchlager au piano. Tour à tour, elle va chanter Gerschwin, Errol Garner. Puis dans un tout autre registre, elle nous étonne avec un extrait de Aïda, de Verdi.

     

    * * *

                Désormais la parole est à vous. Dans le public, ce soir-là, vous êtes quinze à vouloir partager vos mots inédits, vos écrits de pures émotions, ou des textes aimés d'autres auteurs, redécouverts et mis en lumière pour le plaisir de tous : Madeleine-Marie Davaine, Véronique Icart,           

    Rimma Lubomir, Chantal Cudel, Paul-Henri Van de Wal, Mathew Woodman, Myriam Holley, Marc-Vincent Péalat, Claude Peynaud, Sophie Huguenin, Maria Bachs, Magda Ygiarto, Laurette Subille, François Lagarde et Véronique Mondain.

    Un tel florilège est impressionnant de richesses et de diversité. Tous les styles, toutes les dictions, tous vos sourires se succèdent sur la scène, nous emmenant dans la ferveur du partage, sans s'en apercevoir, à neuf heures du soir !

    Il était grand temps de se diriger vers la salle à manger, pour continuer nombreux ces riches échanges, devant quelques nourritures terrestres et des projets qui soudain prenaient corps.

    Je me suis éloigné une minute pour mieux vivre cet instant. La nuit surplombait le Château qui rvivait de riches heures dans un grand bal de silence.               

    Pierre-Jean Blazy     

       

     

  • LES RICHES HEURES

    A force d'écouter les pluies du printemps frapper sur nos toits, il naît tout au dedans de nous le désir de riches heures, où l'espoir renaît et vient peupler nos silences.

    Je vous envoie par la voie des airs cette invitation.

    Retrouvons-nous pour écouter les mots et les images de la poète Béatrice Bonhomme, le vendredi 5 avril 2013 à 19h au château de Mouans-Sartoux.

    Accompagnée par le pianiste Philippe Villani, je sais que notre invitée saura unir l'assemblée autour des liens du temps long celui que l'on voudrait garder toujours.

    C'est Christina Maffei soprano dramatique qui ouvrira pour notre plus grand plaisir la seconde partie de notre spectacle. Après, ce sera à vous, mes amis, de venir nous faire partager vos textes préférés, nés de votre plume ou de tout auteur choisi par vous.

    Puis, en ce 5 avril et pour la première fois, nous proposerons à celles et ceux qui le souhaitent de rester sur place pour un cocktail dinatoire servi dans la salle à manger du Château, au prix très étudié de 15 euros.

    Mais, pour être présent à ce moment de convivialité, vous devez me le dire très vite en répondant à ce courriel.

    Soyez inspiré, venez et unissons-nous, pour que dans la joie la poésie envahisse nos vies!

    Pierre-Jean Blazy

     

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  • LA PROCHAINE AURORE‏

    J'ai un encrier pour l'inspiration, et, aux portes de la nuit, j'y puise certains soirs la force de vie qui m'emmènera jusqu'à la prochaine aurore.

    Nul doute que ce vendredi 5 avril, à 7 heures du soir, vous serez bien inspiré d'être dans la grande salle des conférences du château de Mouans-Sartoux, pour écouter la poète Béatrice Bonhomme, qui vit à Nice et sera avec nous pour cinquante minutes de poésie ponctuée par les notes du piano de Philippe Villani.

    Après eux, la soprano dramatique Christina Maffei nous enchantera avec des mélodies de son choix.

    Ce sera ensuite le moment attendu de la scène ouverte, où vous aurez la parole.

    Puis, pour la première fois, nous proposons aux volontaires de rester parmi nous pour partager un cocktail dinatoire (participation: 15 euros) qui nous permettra d'échanger agréablement et librement, dans la salle à manger du château.

    Il est encore temps de nous signaler votre présence. C'est impératif pour la bonne organisation de cette soirée. Faites-le dès maintenant en répondant par quelques mots à ce message.

    Venez vivre l'aventure du Beau!

    Soyez au rendez-vous du 5 avril, à 19h au château de Mouans-Sartoux.

    Pierre-Jean

     

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  • MA SELECTION

    Le Printemps des Poètes a atteint son rythme de croisière, et chaque jour dans la presse locale, nous pouvons lire un certain nombre d'articles sur des spectacles proposés, tous différents, riches, attrayants. Mais on ne peut être partout.

    Mais ces quinze jours intenses...n'arrivent qu'une fois par an, et il convient donc d'en profiter. J'ai donc réalisé ma petite sélection, et, étant partageur, je vous la communique, en espérant un salutaire effet de contagion:

             -vendredi 15 mars à 19h, salle Léon Mallet à Auribeau-sur-Siagne: "et si jamais" récital poético-musical écrit et interprété par Yves Giombini et Patrick Massabo;

             -jeudi 21 mars à 18h , salle des Amours du musée Bonnard au Cannet: spectacle poétique et musical de Brigitte Broc et Barbara Jane (harpe);

            -vendredi 22 mars à 20h30, salle de la Rose de Mai à la Colle sur Loup: performance de Sabine Venaruzzo, Dom Corriéras, Marie-Christine Frézal et André Chenet, suivi d'une scène ouverte à une quinzaine de poètes, dont Les Mots d'Azur et de Lobsang;
          
            -samedi 23 mars à 20h, salle des Mimosas à Pégomas: lecture poétique de Daniel Schmitt et Yves Ughes;

    Et ne nous oublions pas nous-mêmes: le dimanche 24 mars à 15h, au jardin Gottlob à Mougins-Village, notre spectacle poésie-musique-danse avec l'école Rosella Hightower et l'école de musique de Mougins.

    Sachez que, sauf cas de force majeure, je serai présent à ces cinq spectacles. J'espère vous y rencontrer, afin que  tous réunis nous faisions croître Les Mots d'Azur.

    Bien fidèlement,

    Pierre-Jean Blazy

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  • LE PRINTEMPS AVANCE

    L'hiver est mort hier de solitude blanche.

    Et voici que le printemps enroule autour de nos reins son manteau de velours rouge, et insuffle cette indicible envie de vivre à l'envers.

    Oui, vivons ensemble cette saison de l'envol, en écoutant le souffle intermittent du vent nouveau.

    Venez vivre avec nous le Printemps des Poètes, qui se déroule cette année partout en France du 9 au 24 mars.

    L'ouverture: le samedi 9 mars 2013, à partir de 15h, LES MOTS D'AZUR seront présents dans le centre-ville de Mouans -Sartoux , vers le cinéma La Strada, à la rencontre du public .

    Ce sera la déambulation poétique du 15ème Printemps des Poètes.

    Venez écouter des poèmes inédits ou bien connus, lus par des comédiens, avec l'accordéoniste Jean-Jacques Marceau, qui nous avait enchanté au Château aux cotés de Claude Artès, et qui saura sublimer ces mots du printemps!

    Vous pourrez lire vous aussi au micro vos textes aimés !

    La clôture: le dimanche 24 mars 2013 à 15h, Les Mots d'Azur vous donnent rendez-vous dans le cœur-écrin de Mougins-Village. 

    Nous vous proposerons, en face de l'espace culturel, un spectacle poésie-musique -danse, en partenariat avec l'école de Musique de Mougins, et l'école de danse Rosella Hightower.

    Au programme un spectacle de 45 minutes, avec déclamations de poèmes de Claude Artès et Brigitte Broc, danses improvisées, et, côté musique, du violon et de la flûte.

    Venez en ballade poétique avec nous!

    Nous attendons vos visages, sous le frêle soleil de mars.

    Pierre-Jean Blazy

     

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  • UNE AVENTURE DE L'ESPRIT

    Maintenant la salle est pleine, et au septième coup du clocher, un à un les regards s'allument.

                                        

    Celui très bleu de Gérard Pons s'accroche aux pierres vivantes du Château qui le salue en majesté.

    Dehors, le vent glacé apporte la nuit sur un grand plateau de feuilles mortes.

     

    Le vent me le dirait

    si ce n'était pas toi.

    Je le reconnaîtrais

    à la risée de la mer,

    aux herbes échevelées

    à la solitude froide

    de la lune

    entre deux nuages d'oubli.

    Si ce n'était pas toi,

    le vent me le dirait.

     

    Il est une aventure qui se joue dans le ciel. L'esprit de ceux qui passent m'emporte quelque part au milieu de la nuit

                 (...)                   .

    L'ascension des morts

    est terminée.

    L'invisible ne se fractionne pas.

                 (…)

    Il faudra plus de temps

    aux arbres fracassés

    pour revivre

    dans la senteur des veuves.

     

    La trompette de Mathieu Pourtier déchire l'air épais de la salle immobile.

     

    Que cette mélodie d'un soir coule bien dans nos veines !

     

    Les doigts graciles de la belle Giulia Mendolia s'attardent sur le piano amoureux de sa maîtresse d'un soir. Les yeux se ferment doucement pour goûter le beau, à côté de nous.

                 (…)                                                                 

    Ses mains retiennent ses cheveux,

    ses seins comme dunes

    modulent l'infini.

    Quelle route emprunter

    quand le vent est tombé 

    et que le bruit de la mer

    ne s'entend plus ?

                                                                                                                                                                                                                                                              

    Les yeux se ferment doucement pour mieux goûter le beau, à côté de nous.

    Un verre de crépuscule aide à comprendre le vaste monde ;

    Reviens croiser mes doutes dans la vallée des masques.

                (…)

    La mort d'un ami

    raccourcit toujours

    notre propre vie.

               (...)

    Il pleut

    comment dire autrement

    il pleut.

    L'aveugle pleure

    sans explication.

    Il pleut.

    Ah, ce ravissement des femmes qui nous fait croire à l'avril en automne. Il me faut toujours ce feu qui s'embrase.

                 (…)

    entre clarté et obscurité

    lorsque les filles se dévêtissent

    autour de la margelle du puits.

    Juste avant l'arrivée

    des oiseaux de nuit.

                (…)

    Dans l'herbe rase et salée

    au creux du vent

    j'ai posé mon sac

    lourd de souvenirs.

    A quelle étoile

    les épaules allégées

    adresser une prière

               (…)

    Il me revient l'ambiance feutrée de ce grand bal du silence, quand il me reste ma vie à écrire , avec un cœur si large et si généreux que je pouvais enfin confondre l'amour et ce chagrin joyeux.

     

    Je compte le temps

    sur les rides d'une vieille

    endormie sur une chaise

    au soleil

    et dont l'ombre s'allonge

    plus noire

    que celle de l'olivier.

                                                                  

    Désormais le vent respire tout bas. Dans les taillis où repose l'écorce des pierres, j'aperçois un vieux renard qui marche au pas lent de la mer.

                 (...)

    A qui appartient le silence

    pendant que je caresse

    les veines saillantes de mes mains ?

     

                                                    *  *  *

    Un tonnerre d'applaudissements roule vers Gérard Pons, Mathieu Pourtier et Giulia Mendolia. Dans le parc du Château, la nuit sombre et glacée s'est installée, jusqu'à demain.

    Madeleine Marie Davaine se tourne alors vers la salle pour entonner « je te souhaite », poème de la vie qui vient auquel elle ajoute une surprise pour votre serviteur : « les mots d'azur », un texte attachant que vous trouverez sur notre site.

    Puis Jackie Raimondi, en partance pour Porticcio où elle va animer un très beau Printemps des Poètes, feuillette à haute voix deux recueils de Gérard Pons encore ouverts sur la table, et nous fait partager les « rêves solitaires » et les « regards nocturnes » de Pablo Neruda.

    C'est le moment choisi par Chantal Cudel pour lire son cher Jean Berger, avec le poème « Camargue », puis « le perroquet », un texte dédié à son père trop tôt parti.

    Les visages s'éclairent, les regards scrutent l'assistance pour voir le prochain ami qui se tiendra derrière le micro des Mots d'Azur. Ce sera Mathew Woodman, représentant de sa gracieuse Majesté, qui, avec son accent inimitable et sa gentillesse perceptible va nous lire 4 poèmes de son cru : « ailleurs », « friendship », « Montmartre de Sacré-Coeur » et « ce sourire ». Merci à notre ambassadeur !

    J'appelle ensuite l'ami Yves Giombini, qui déclame de fort belle manière le texte décapant de Léo Ferré, écrit en 1971, et intitulé «La poésie contemporaine».

    Les visages sont concentrés. Ce soir une riche diversité est de mise, pour le plaisir de tous.

    C'est donc au tour de François Lagarde de lire Maria Bachs, qui nous fait l'amitié de sa présence avec « forêt de tes cils » .

    Puis il continue dans la foulée, avec un texte de Montserrat Orduna, fille de la précédente, intitulé « à l'écorchure de tes mots ».

    Véronique Icart et son sourire nous lisent ses « mélodies », et Cédric Jacob, l'ami de Nice, poète-astronome, et co-inventeur  des « Rencontres des poètes & Co » qui se créent dans la capitale azuréenne, nous livre deux textes : « ma prime observation » et « l'abeille ».

    C'est à Marie Gay que reviennent les mots de la presque fin, avec un extrait de son recueil « Vers la vie » nommé « dans tes bras chauds ».

    Car cette soirée si belle et si dense ne pouvait se suspendre sans la voix chaude et la guitare magique de Lobsang,    qui nous emporte dans son chant, en posant cette question : « d'où êtes-vous camarades ? ».

    C'est le désir qui nous rend humain. Et ces instants de bonheur partagé, avec des mots, avec des notes sont un désir vivifiant, et ce soir accompli.

     

    Au loin, la lumière jaune de l'enseigne de «la Gabbia » est un appel à prolonger ce nouveau bonheur.

    Pierre-Jean Blazy
    Président des Mots d'Azur

  • Le Printemps des poètes à Mouans-Sartoux

    Le samedi 9 mars 2013 à partir de 15h LES MOTS D'AZUR  seront présents dans le centre-ville de Mouans -Sartoux , vers le cinéma La Strada, à la rencontre du public !

    Venez écouter des poèmes inédits ou bien connus, lus par des comédiens, et avec un musicien jamais très loin pour sublimer le verbe...

    Venez et voyez, lisez vous aussi au micro vos textes aimés !
    Avec nous pour le lancement du Printemps, le 9 mars aprés-midi !

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