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  • MIEL DE PRINTEMPS

    P j blazy c haza

    Il y avait un ciel où le vent a balayé l'hiver.

    La route est belle vers le Château, et une joie triste existe dans les allées de ses jardins.

    Voici, dans une salle pleine, exubérante, la voix calme de C haza 3Claude Haza qui emmène vers des rives étranges.

                                   Nés de la nuit nous sommes

                                   quand le monde au petit matin

                                   s'ouvre à la rumeur d'un feu

                                   inspirateur sur toute la terre

                                   (...)

                                   Mais c'est à toi que tu mens

                                   et tu le sais bien

                                   (...)

    La visite des mots se fait avec le son magique du saxophone de S nini 1Selim Nini, qui sait le faire chanter mieux que personne.

                                   Quelques pas de plus et tu risques de tomber

                                   dans le désordre qui met en ébullition

                                   toutes les substances du rêve

                                   comme une courbe en feu

                                   (...)

                                   Tout persiste à nous occuper

                                   s'emploie à découper l'instant

                                   dans cette union de blancheur

    Les royaumes disparus.

    La langue des pierres qui parle des solitudes à deux.

    Et les champs de la nuit, où il n'y a que vagues et vent.

                                   Mais c'est toi surtout que l'on touche

                                   beauté partagée

                                   c'est toi qui parle de nous

                                   et relèves aussi du songe éveillé

                                   (...)

                                   Sous les lueurs du crépuscule

                                   marcher sans effacer la

                                   neige pure du chemin

    Chacune, chacun, lève les yeux vers le ciel de ses désirs.

    Au centre du silence, je déguste à pleine bouche le miel de ce printemps.

    C haza

     

                                   L'écho n'accable que les vastes étendues

                                   la grêle frappe avec le vent

                                   la source débute entre les herbes

                                   (...)

                                   et si je résistais à m'enfoncer dans le soir

                                   (...)

                                   l'embrasement monte comme

                                   un incendie dans l'âme

                                   après une émotion

                                   avant l'ivresse du corps

     

    C'est un ravissement subtil que de voguer sur un lac aux eaux noires. 

    S nini  

    Il y a une jeune créature dans cette nuit.

    La nuit des loups.

     

                                   Je voudrais demeurer attaché

                                   par le regard seulement

                                   à ce qui est là non visible mais

                                   intensément généreux

                                   (...)

     

                                   si le savoir effaçait le manque

                                   la mort ne viendrait pas

                                   tu serais mon éternité

                                   ma maison sous les branches folles

                                   comme au début d'un regard

     

    Je vois un passeur, perdu vers ce grand cimetière de brumes, dans ma campagne aux terres parfumées. S nini 2

     

                                   cette lumière brillante

                                   sur la montagne

                                   semblable à une étoile

                                   est une flamme d'impatience

                                   que la nuit prend pour une fleur

     

                                   que pèse ici ce tas de pierres

                                   posées contre le mur de tes souhaits?

                                   après la marche dans le monde

                                   le front appuyé contre la vitre

                                   c'est sans doute le poids d'une vie

     

    C haza 2

    Le jour baisse.

    L assistance sous le charme des mots

    La lumière est douce pour accompagner vos mots lus et même chantés, comme ceux de Lorène Majou. L majou

    Puis onze femmes poètes vont se succéder, sous les applaudissements d'un public chaleureux et nombreux:

    M m davaine 1Madeleine-Marie Davaine,

    C laurent patouillardClaire Laurent-Patouillard,

    M f fournieMarie-France Fournié;

    M s raymondMarie-Solange Raymond,

    T touraouTatiana Touraou,

    F martinieFlorence Martinie,

    M gayMarie Gay,

    M holeyMyriam Holley,

    B caizerguesBrigitte Caizergues,  

    M louisMoana Louis et bien sûr,

    la grande M FREUDMichèle Freud.

    Et pour leur donner la réplique, il y a les mots chauds, surprenants de D cardosoDavid Cardoso,

    P alzinaPatrice Alzina,

    et B niverBruno Niver.

    Avant cette rencontre avec la voix et les mélodies de la soprano Claudette Ory, qui chante pour nous Théophile Gautier et Victor Hugo, excellemment accompagnée au piano par Guillaume Giffard. C ory g giffard

    C'était la belle ouverture du dix-septième printemps des poètes.

    Le buffet est dressé où cent partages vont naître. La salle du chateau

    Nous sommes frères et sœurs dans cette nuit claire.

    Avec enfin le temps d'être soi-même, au milieu de la poésie et des fulgurances du bonheur retrouvé.

    P j blazy 1 Pierre-Jean BLAZY

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  • UNE LIQUEUR DE LUMIÈRE

    J'entends ici-bas la voix des oiseaux, cette liqueur de lumière, étrange et frêle.

    Chaque matin elle est mon armure de feu.

    Je veux la force heureuse du souvenir, un soleil noir égaré dans ton désir brûlant.

    Amis des mots, de la musique des mots, et du saxo, nous avons rendez-vous ce vendredi 6 mars 2015, à 7 heures trébuchantes sur le soir, au Château de Mouans-Sartoux, pour écouter le chant littéraire de Claude Haza, agrémenté par le saxophone aventureux  de Selim Nini.

    Vos mots à vous, façonnés dans l'esprit, résonneront ensuite jusqu'aux tourelles du Château,avant de laisser la place à notre amie la soprano Claudette Ory, accompagnée par le piano de Guillaume Giffard.

    Oui, soyez avec nous, et aussi lors du buffet parfumé à l'amitié des nourritures terrestres (12€). Confirmez le moi aujourd'hui même.

    A vendredi !

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  • PETALES DE SOLITUDES

    L'hiver est à l'agonie, et les pétales de solitudes de fleurs éteintes viennent mourir à mes pieds.

    Il y a ce poids d'ombres que le printemps va prendre sous l'écorce des mots.

    Il y a vos lueurs incertaines, que je vois grandir comme la joie de la rencontre, cette paille fraîche de l'aube.

    Claude Haza, poète niçois aux mots de l'âme profonde, sera avec nous le vendredi 6 mars 2015, à 19 heures, dans le Château de Mouans-Sartoux.

    Venez l'écouter, accompagné dans sa quête par le jeune et talentueux saxophoniste Selim Nini.

    Après eux, le temps s'ouvrira devant vos écrits, et Claudette Ory, soprano reconnue, viendra clore ce beau moment, avec au piano Guillaume Giffart.

    Et dites-moi, par retour de courriel, que vous serez des nôtres au buffet de la convivialité (12€), juste après, dans la salle à manger du château vénérable.

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  • UN CIEL LARGE ET GENEREUX‏

    Magda ygiarto 1          Magda igyarto et p j blazy

    La journée entière, le vent avait fait tourbillonner des vagues de pluies sur le Château, dernier rempart contre la colère du temps.

    La voix de Magda Igyarto maintenant emplissait la grande salle du monument, où vous étiez quatre-vingt douze réunis:

                                  Jour étrange que capte en panoramique

                                  la cornée d'un œil hagard

                                  Les étourneaux volent virevoltent

                                  leur ballet lancinant obscurcit le ciel laiteux

                                                (...)

                                  Les larmes d'angoisse assombrissent

                                  la plaine hérissée de fourches flammes

                                  Le jour incandescent brûle

                                  l'horizon qui hurle sa démence

    Le public charme 

    Et dans une mélodie de renaissance, les notes du piano Enzo di santod'Enzo di Santo parlent de l'intelligence de l'amour.

    Je m'enterre dans ma mémoire.

    Passer une vie à écrire les grands bals du silence

    P1200038bis

                                  La pluie glacée de l'absence fustige

                                  l'haleine de mort des ombres sorcières

                                                (...)

                                  Regarder par le bout du nez le chemin que

                                  dessinent pas à pas

                                  les yeux sur le présent sans oublier de

                                  rêver à quoi je ne sais pas

     

    Dans ce vendredi sombre, une vie brève et dense montait lentement.

    L'encrier de l'inspiration se déversait doucement.

     

                                  L'eau noire zébrée de lumière lunaire

                                  fascine mon regard qui s'y perd

                                  Pourquoi cette morsure de l'absence

                                                (...)

                                  Les mots en vrac dansent au

                                  rythme de la flamme sèment des idées

                                  en sillons serrés qui tourbillonnent

                                  dans un flamenco de rouge et de sang

                                  récoltent des pensées qui entrelacent

                                  le bon grain et l'ivraie

     Magda ygiato

    Un jour je serai vieux, et même sans mémoire les mots du Beau viendront cogner dans mes veines.

     

                                  Nos bras sourient à l'étreinte des heures

                                  nos corps brûlent le ciel en fièvre

                                  entre ombre et lumière

                                                (...)

                                  Le sein de la terre se gonfle de rêves

                                  géants se nourrit de

                                  chants d'illusions humaines se plisse

                                  de souvenirs nostalgiques

     

    La scene

    Encore et encore, le piano superbe de vie et de joie d'Enzo di Santo, emporte jusqu'au fond de nos cerveaux la musique des mots de Magda Igyarto:

     

                                  Seules perdurent un instant

                                  les joies tracées sur le sable du temps

                                  Pieds nus dans les flaques du rêve

                                  où les sens s'éclairent

                                  du sourire du plaisir

                                                 (...)

                                  le sable du vide égrène un à un

                                  les souvenirs happés par l'appel de la vie

                                  qui a ouvert les volets les fenêtres les portes

     

    Nous voici maintenant à la porte d'une nuit de feuille d'or.

    Il y a le silence sur les esprits, ouverts à ce qui vient:

     

                                  La souffrance migre vers un ailleurs

                                  où l'espérance s'incruste

                                                (...)

                                  Se libère la joie prisonnière

                                  enfin nue à la lisière de la vie

     

    P1200092bis C'est un long roulement d'applaudissements qui vient clore le récital. P j blazy m igyarto e di santo a delzers

    Alicia delzers 1Et comme un prolongement dans le plaisir, la voix pure et chaude, la voix aux cambrures étonnantes

    d'Alicia Delzers Alicia delzersvisite tous les corridors du Château.

    A delzers m igyarto p j blazyEt nos cœurs conquis.Les 3 artistes reunis

    On ne pouvait rêver meilleure ouverture pour la scène ouverte, ce soir encore couverte de pépites aux styles différents, signées

    M m davaineMadeleine-Marie Davaine, BartoloClaudia Bartolo,

    Femenia tretDanielle Femenia-Tret,

    Myriame holleyMyriam Holley, Marie gayMarie Gay,

    Louis champavierLouis Champavier, Marie solange raymondMarie-Solange Raymond,

    Tatiana touraouTatiana Touraou, Alain sassonAlain Sasson,

    DlousskyNathalie Dloussky, Patrice alzinaPatrice Alzina,

    Catherine kiatCatherine Kiat, Florence martinie Florence Martinie,

    Pierre jean blazyvotre serviteur, et

    Michele freudMichèle Freud.

    C'est la fin de la fête des mots et du sourire, faite d'amitié et de joie.Autout du buffet

    Mais elle renaîtra au joli mois de mars, pour que nos vies voisines aient sur le soir le même ciel large et généreux.

     

    Pierre-Jean Blazy

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  • SERVITEUR DES OMBRES

    Voici comme une composition des mondes.

    J'ai vécu cette brève histoire du temps, captif et corsaire à la fois, vers le jour qui perçait sous la brume.

    Au matin ce furent les premières neiges.

    J'étais devenu le serviteur des ombres.

    Venez partager la vingt-deuxième soirée des Mots d'Azur, en ce vendredi 28 novembre, à 7 heures du soir, au Château de Mouans-Sartoux.

    Notre invitée d'honneur sera Magda Igyarto, avec dans sa besace ses mots drus de poétesse, rythmés par le piano fulgurant d'Enzo di Santo.

    Ensuite vous direz sur la scène ouverte vos textes aimés (rendez-vous à 18h30), et la belle soprano Alicia Delzers délivrera son chant magnifique.

    La fête finira dans les parfums de notre buffet de l'amitié (12€). Dites- moi par retour de courriel que vous serez des nôtres.

    A vendredi, mes amis !

    Pierre-Jean Blazy

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  • AUTOMNE ENTRE CHIEN ET LOUP‏

    Je vous parle au moment où, sur les chemins de poèmes, les frimas de l'automne à mi-vie font vibrer ce qu'il reste en nous de vrai.

    C'est un octobre de mots et d'azur.
    Devant vous, en cette fin de première semaine de Toussaint, la poète niçoise et trentenaire Mélisandre  Karuna emplira l'espace de ses
    mots mystérieux, profonds, vivants.
    En duo avec elle, nous pourrons respirer, entre les poèmes, l'air vivifiant du violon et de la flûte de la rouretane Béatrice Guiffray.
    Après, ce sera la scène ouverte roquettane, et le verre du verbe partagé qui viendra clore cette réunion des bonheurs.
    A samedi, les amis, pour la vigueur et l'harmonie.
     
    Pierre-Jean Blazy


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  • LA LUMIERE EST PLUS ANCIENNE QUE L'AMOUR

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    La lumière est plus ancienne que l'amour, et dans la vaste salle pleine de vos vies, une fois de plus, vous êtes dans la noble enceinte, prêts à vivre quelques grands instants de poésie.

     P1080423

                Quand vient le soir

                recommence le jour

                recommence la vie

                sous une autre lumière

                (...)

     

                Cette femme qui me sourit

                le soir au bord de d'infini

                et qui me dit des mots d'amour

                dans les combats de chaque jour

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    La  voix magnifique de Bruno Niver emplit la pièce et parcourt chaque cœur. Mais voici qu'après son texte virevoltent les notes de Guillaume Giffard sur le piano réveillé. P1080418

     

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                 J'ai trouvé un visage à l'éternité

                 et c'est le tien

                 Tous les vents me parlent de toi

                 (...)

     

                 A genoux sous tes mains

                 j'attends que désaltère

                 mes désirs

                 ton regard

                 abreuvant mon désert

     151 1

    Dans le parc étonné, l'arbre de l'oubli s'estompe à l'horizon. Ce que porte le soir vient jusqu'à nous:

     

    069 1

                 Est-ce que tu as reçu mes lettres

                 est-ce que tu as reçu mes lèvres

                 est-ce que le temps qui se meurt

                 te paraît long loin de mon cœur

                 (...)

     

                  Efface de mon corps les baisers fantastiques

                  et si mystérieux de tes lèvres mystiques

     

    P1080427

    Dans vos yeux attentifs, je vois le vaste monde. Les tisseurs de lumière approchent.

    Je peux les toucher. 192 1

     

                   Parmi les filles brunes aux regards de velours

                   la soie noire des bas

                   je pense à toi mon astre d'or

                   au soleil blond de tes cheveux

                   (...)

     

                   Danse  danse

                   et bois la liqueur

                   des corps blancs des femmes

                   aux cheveux blonds roux bruns verts rouges jaunes

                   sous les feux des projecteurs

     

    C'est une voix d'outre-ciel. Une merveilleuse diction scandée comme la rivière de la vie.

    Voici tous les chagrins muets qui crient et se libèrent:

     125 1

                   Qui sait qui sait

                   où va la neige quand elle fond

                   avec l'infini se confond

                   dans les rayons de tes yeux verts

                   (...)

     

                   Car vois-tu tout s'en va

                   car vois-tu tout s'en va

                   pendant que je pense à toi

     

    L'heure est venue de vos mots tout chauds.

    Tour à tour Madeleine-Marie Davaine Madeleine-Marie DAVAINE,

    Florence Martinie, Alain Sasson P1080448,

    Louis Champavier P1080450,

    Michel Orion 263 1, Myriam Holley223 1,

    Patrice Alzina 236, Marie-Solange Raymond P1080463,

    Brigitte Caizergues 272, Brigitte Broc 303,

    Matthew Woodman P1080482 Françoise Pateyron et

    notre grande Michèle Freud P1080480

    font résonner leur prose et leurs vers.

     

    Puis, comme un magnifique point d'orgue, la voix profonde et belle de Madly Massengo P1080488

    se mêle au piano libéré d'Azusa Inoue. 318

    Tout est clair dans le soir enfin venu. P1080495

     

    La brune lumière du ciel nous emmène doucement vers le partage des senteurs de début d'automne.

    358

     

    Pierre-Jean Blazy 105

    Les extraits de poèmes sont tirés de “Dans le feu de ton âme” et “Poète à Moscou”, recueils de Bruno Niver publiés en 2010 et 2013 aux éditions Zébra.

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  • FAITES VOTRE FESTIVAL !

    Bonjour à chacune, à chacun,


    Les vendredi 3, samedi 4 et dimanche 5 octobre aura lieu le 27ème Festival du Livre de Mouans-Sartoux.


    Comme chaque année, Les Mots d'Azur sont de la fête ! Cinquante mille visiteurs sont attendus, ainsi que plus de 35 éditeurs et exposants.

    http://www.lefestivaldulivre.fr/programme2014.pdf

    Je vous invite à venir nous rencontrer et nous soutenir dans notre combat quotidien au service de la poésie.

    Les Mots d'Azur seront à l'espace B, stand 38, de 10 h à 19h.


    Pendant ces trois journées, riches de sourires et d'échanges, 14 poètes et leurs écrits vous attendent dans notre espace réservé:

    Fabienne Pujalte, Christophe Forgeot, Bruno Niver, Coralie Folloni,

    Marie Gay, Mélisandre Karuna, Nicole Lanza, Madga Igyarto,

    Michel Bartholi, Gisèle Sans, Tatiana Touraou,

    Patrice Alzina, Madeleine-Marie Davaine et votre serviteur.


    Le vendredi 3 octobre, l'amie des mots et de l'azur, Fabienne Pujalte, vous accueillera. Je serai quant à moi présent samedi et dimanche.

    Sachez aussi que Les Mots d'Azur offrent deux déclamations publiques poésie et musique, à 11h30, au Café Beaux Livres de l'espace B:


               -le samedi 4 octobre: Philippe Molino(textes) sera accompagné par Jean-Marc Baccarini (saxophone) et Alexandre Davin (percussions)           

              -le dimanche 5 octobre: nous retrouverons l'ami Bruno Niver (textes), avec ce jour-là, Caterine Naget-Polo au saxophone.


    Nous avons le bel espoir de vous retrouver à nos côtés !


    Si, le 19 septembre, l'orage a bel et bien rajeuni les fleurs, n'éteignez pas l'esprit qui nous guide vers cet automne.

    Venez, avec votre lumière.

    Pierre-Jean Blazy

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